Pourquoi parler d’alimentation vivante et de pathologies  ?

Tout s’intrique tout simplement…

Dans un monde où tout va très vite, où l’humain est de plus en plus sollicité dans ses dimensions sociales, intellectuelles, émotionnelles et corporelles, les causes de déséquilibre sont de plus en plus la cause de pathologies allant des problèmes physiques au problèmes psychiques et émotionnels.

L’humain est véritablement exposé à un empoisonnement généralisé.

L’exposition aux polluants de l’alimentation industrielle, des produits utilisés en agriculture pour les traitement phytosanitaires des plantes et des animaux, les produits chimiques présents dans les eaux de boisson, de baignade, la pollution de l’air que nous respirons, les polluants introduits par les médicaments, la surcharge du corps par les addictions aux sucres, aux graisses, à l’alcool, aux substances comme le tabac, les drogues… puis l’empoisonnement lié à toutes les surcharges psychiques telles les sollicitations liées aux réseaux sociaux, aux mails pro et perso, à la télévision, l’addiction aux séries télévisuelles qui endoctrinent les gens à consommer, toutes ces occupations entraînent une surcharge psychique faisant perdre le nord à un cerveau saturé d’informations et un corps qui ne peut plus éliminer car il y a un véritable affaiblissement des organes nettoyeurs du corps comme le foie, les reins, les intestins.

Les corps sont saturés, plus rien ne circule et nous constatons une accélération des pathologies d’encrassement et d’élimination. Les conséquences directes sont la maladie et le mal-être dans le corps physique et de façon secondaire, le mal-être psychique car un corps entoxiné n’a plus d’énergie vitale suffisante pour se désintoxiquer et c’est le cercle vicieux, des dépressions, fatigue chronique, dépressions, puis maladies chroniques.

Nous nous habituons très tôt à vivre avec des petits symptômes au quotidien, une petite fatigue, une petite douleur, un petit point de congestion par ci par là mais ce n’est pas normal !

Un corps en santé a de la vitalité lui permettant d’affronter les expériences de la vie terrestre ! Chaque organisme depuis la nuit des temps est confronté à des expériences de stress liées au contexte environnemental, différentes au cours de l’évolution. Nous ne faisons plus face à un ours en sortant de notre caverne, quoique…. mais nous affrontons des situations dignes de cette comparaison en allant au travail ou pour certains, même en allant au supermarché. Il y  une véritable perte de l’adaptation et un isolement qui se met en place. Le corps et le cerveau ne sont plus capables de s’adapter à un stress permanent, c’est le stress chronique qui n’est pas la norme du fonctionnement physiologique.

La physiologie du stress est simple, face à un événement perturbant, le corps sécrète des hormones permettant de générer 3 sortes de réactions : l’affrontement, la fuite ou la sidération. Voyez la gazelle qui fait la morte devant la lionne ou la l’animal qui fuit devant les signes d’un prédateur qu’il pressent autour de lui. Une fois le danger passé, le corps se calme, la gazelle reprend sa vie de gazelle qui broute. Le stress est une réaction physiologique permettant la survie du corps.

Or lorsqu’il devient chronique c’est-à-dire qu’il y a une sollicitation trop fréquente de cette capacité d’adaptation, il y a une fatigue générale qui s’installe et là c’est le début des ennuis et des conséquences néfastes.

Un corps sain permet d’avoir un cerveau qui pense, qui discerne, qui a des projets, des envies. C’est un humain qui crée, vit, profite de son expérience terrestre, donne un sens à sa vie, se relie aux autres mais avant tout à ses désirs profonds.

Les pathologies d’encrassement et d’élimination arrivent de plus en plus tôt dans les organismes affaiblis par les vaccinations, la malbouffe, le stress depuis l’enfance, la maltraitance et les abus divers. Il n’est plus rare de voir un burn-out où une dépression chez des enfants, des adolescents ou de jeunes adultes pressés comme des citrons par un environnement sur sollicitant.

Les ailes de ces belles âmes sont coupées avant même d’avoir pu pousser.

Alors quelle est notre responsabilité ???

Avant tout, elle est individuelle, personne d’extérieur ne nous pousse à mal consommer, à mal nous divertir, à mal nous reposer, etc. Redevenons souverain de notre vie, reprenons les rênes de notre vie. Nous n’avons pas besoin de tuteur. Notre corps est capable d’aller vers les aliments de bonne qualité à condition qu’il soit désencrassé car nous sommes attirés par les aliments par lesquels nous sommes intoxiqués.

Notre cerveau est attiré par les activités nourrissant l’âme sauf s’il est encrassé physiquement ou abruti par les technologies numériques, libérons nos cerveaux ! La créativité est une source d’épanouissement de l’âme, c’est la raison d’être de l’être humain pour rayonner sa présence sur terre. Elle peut s’exprimer dans toutes les professions.

Alors comment faire ?

En tout premier lieu commencer par décider de changer car personne d’autre que soi ne peut nous obliger, prendre conscience que notre vie, ne peut pas se résumer à bouffer, travailler, se droguer et s’abrutir. Se nourrir, je le rappelle, ce n’est pas seulement vivre pour manger, c’est manger pour vivre. C’est nourrir son âme par une vie riche d’expérience avec les autres car l’âme vient vivre des expériences pour s’enrichir. Se nourrir, c’est donner un sens à ce que l’on vit quelque soit l’expérience, seul le jugement humain nous affuble de qualités ou de défauts.

Prendre conscience est le premier pas vers soi, vers le respect de soi et des autres, vers le respect de cette vie qui court en nous tous et nous fait soulever des montagnes pour parvenir à nos joies les plus profondes, celles qui émergent du plus profond et la joie principale qui émeut les coeurs, c’est l’amour. L’amour d’être en vie et de jouir de la vie et de ses expériences dans le simple état d’être qui je suis, libéré des conditionnements parentaux, éducatifs, sociétaux et gouvernementaux.

Le second point est de se rendre compte que nous sommes ce que nous mangeons ou plus exactement ce que nous avalons, physiquement par notre bouche et plus subtilement par ce qui nous entoure. Nos relations nous nourrissent ou pas, notre lieu de vie nous nourrit ou pas, nos activités nous nourrissent ou pas. Passer au crible les domaines de notre vie où nous nous sentons En Vie.

Les domaines que l’on peut décider de modifier d’une minute à l’autre sont notre façon de manger et de relationner. Relationner en devenant responsable, quitter le mode victime, bourreau ou sauveur. Manger sainement et aider son corps à éliminer.

Décider de changer de nourriture est un grand pas vers soi et les vrais besoins. C’est parfois inconfortable, remuant, perturbant mais tellement vivant. Vivant c’est le terme ! Plonger dans l’alimentation vivante, c’est changer notre vision du monde. C’est très « chamanique » dans le sens où nous pouvons nous observer sous des angles différents, voir nos comportements appris et prendre conscience que nous sommes pétris de croyances, ne nous appartenant pas.

La vraie révolution est intérieure car chaque être qui Décide pour lui-même, devient un exemple pour d’autres.

Voilà ce que propose l’alimentation vivante, se mettre En Vie c’est-à-dire en mouvement, dans le mouvement de notre âme.

Mais changer d’alimentation vers une alimentation vivante n’apportera pas de résultats sur le long terme s’il n’y a pas un nettoyage profond du corps et de ses systèmes d’élimination. Un corps encrassé c’est comme une Ferrari qui roule avec du diesel, ça tousse, ça ralentit dans les côtes et sa fume du pot d’échappement donc ok on lui met de l’essence 98 et on décrasse le moteur ! Alimentation vivante, activité physique, stimulation des organes d’élimination, nettoyage de la carrosserie au complet !

Je propose des plans de retour à la santé incluant tous ces paramètres. Mes compétences ont été acquises depuis mon propre burn-out qui m’a mise KO en 2008, tout ce que j’ai appris en cherchant ce que j’avais et qui ne se diagnostiquait pas à l’époque. J’ai changé d’alimentation plusieurs fois, doucement, j’ai fait beaucoup d’erreurs et de réussites aussi. J’ai changé d’activité professionnelle. J’ai ouvert mon cœur et soigné mes blessures d’âme.

Je ne propose que ce que j’ai expérimenté. J’en connais les moindres méandres pour l’accompagnement.

Par conséquent, à bientôt !

Contact par téléphone, mail pour me rencontrer.